Le matin trouva Lauriana recroquevillée auprès des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la température ténue d’un bouquet mourant. Elle se redressa doucement, chassant de ses paupières la ennui nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du livre familial qu’elle avait glissé par-dessous sa tête pour la nuit. Le ciel, déjà teinté d’un bleu sérieux, annonçait 10 jours lumineuse, comme si la originalité, décidée à se marquer miséricordieux, lui apportait un sursis premier plan les prochaines tests. En respirant l’air présent, elle se rappela combien la lauriana voyance imprégnait désormais chaque fibre de ses énergies, tissant la passerelle entre ses rentrée et les murmures mystiques du entourage alentour. Son cœur se gonfla d’une confiance cachée, nourrie par l’assurance que ce bienfait, hérité de ses aïeules, lui permettait d’avancer mesure son but nonobstant les doutes. 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Son entendement vagabonda rythmique l’étrange présence qu’elle avait perçue la veille, cette entité qui l’observait sans exprimer son bouille. Bien qu’elle n’en eût pas de déposition concret, elle pressentait un gardien protecteur veillant à bien ce qu’elle progresse en toute sécurité. La lauriana voyance la maintenait dans cette sensation d’écoute subtile, lui permettant de discerner, au cœur même du silence, la résonance de forces immatériels qui l’accompagnaient sur ce chemin singulier. Les heures passèrent dès lors, et le sol devint plus solide à bien versification qu’elle s’éloignait de la forêt épaisse. Bientôt, la végétation se fit moins dense, et elle aperçut par les branches l’esquisse d’un relief plus vallonné. Au loin, un ciel franc dominait des paysages douces, striées de sentiers à bien contretype discernables. Pressentant que ce nouvel horizon marquait un déviation influent, elle pressa le pas, l’échine parcourue d’un frisson d’impatience. Le souvenir du sanctuaire souterrain et de l'antique cabane persistait dans sa rappel, mais elle savait qu’il lui fallait avancer pour enfermer la retentissement vraie des secrets enfermées dans le manuscrit. La lauriana voyance, comme un phare intérieur, aiguillonnait chaque individu de ses pas, l’appelant à franchir un cap d'envergure dans la recherche de l’équilibre perdu. Elle déboucha enfin sur une pente herbeuse, éclairée par le soleil de midi. L’air, plus plaisant, portait de lointains effluves floraux. Tout en accostant la colline, elle remarqua qu’un mince larme d’eau courait dans la vallée, scintillant à la manière d’un ruban argenté par-dessous l'éclairage. Au fond, un bosquet de saules tourmentés se balançait, élaborant tels que une barricade verte à bien l’approche d’un grand pré. Lauriana sentit son essence se dilater amenées à cette scène qui alliait douceur et glaçon, lui mentionnant que la boule abritait tant sur le plan de merveilles que de risques. 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